Mémoires de Frédérique Sophie Wilhelmine de Prusse, margrave de Bareith. Vol. II Soeur de Frédéric le Grand (2 volumes) By: Margravine Wilhelmine (1709-1758) |
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In the second volume of her memoirs, Margravine Wilhelmine continues to provide readers with a fascinating glimpse into her life as the sister of Frederick the Great. Through her vivid and engaging writing, she transports us back to the 18th century and immerses us in the world of Prussian royalty.
Her candid reflections on her relationships with her family members, including her complicated dynamic with her brother Frederick, give us a rare insight into the personal lives of these historical figures. Wilhelmine's sharp wit and intelligence shine through in her observations on court politics, social etiquette, and the challenges of being a woman in a position of power.
While some readers may find the detailed accounts of court events and political intrigue overwhelming, those with an interest in history and royal biographies will appreciate the wealth of information contained in this volume. Overall, Margravine Wilhelmine's memoirs are a valuable contribution to the historical record and a compelling read for anyone curious about life in 18th century Prussia. MÉMOIRES DE FRÉDÉRIQUE SOPHIE WILHELMINE, MARGRAVE DE BAREITH, SOEUR DE FRÉDÉRIC LE GRAND, DEPUIS L'ANNÉE 1706 JUSQU'À 1742, ÉCRITS DE SA MAIN. TROISIÈME ÉDITION, CONTINUÉE JUSQU'A 1758 ET ORNÉE DU PORTRAIT DE LA MARGRAVE. TOME DEUXIÈME. LEIPZIG. H. BARSDORF. 1889. 1732. Une nouvelle époque fit l'ouverture de 1732. Il y avoit déjà quelque temps que je me trouvois fort incommodée; j'en avois attribué la cause à l'agitation continuelle de mon esprit accablé de tant d'adversités différentes. Je voulus faire mes dévotions; je pris une défaillance à l'église, que dura quelques heures. Je me trouvai au lit en revenant à moi, entourée de la reine et d'une foule de monde, qui étoit accouru pour me secourir. Le médecin jugea que j'étois enceinte. On m'en badina beaucoup, mais je ne fis aucune attention à tout ce qu'on me dit. Je souffrois trop; j'eus plusieurs foiblesses tout ce jour là, ce qui m'empêcha de me lever. La reine me fit dire le lendemain, qu'elle viendroit le soir célébrer les rois chez moi. Cette petite fête fût assez triste; ceux qui y étoient, sembloient touchés de me perdre, ils avoient tous les larmes aux yeux. Je pris un tendre congé de la Margrave Philippe; mon mariage n'avoit point altéré notre amitié, et je me sentis attendrie de me séparer de me amies... Continue reading book >>
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