Aziyadé Extrait des notes et lettres d'un lieutenant de la marine anglaise entré au service de la Turquie le 10 mai 1876 tué dans les murs de Kars, le 27 octobre 1877. By: Pierre Loti (1850-1923) |
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Aziyadé Extrait des notes et lettres d'un lieutenant de la marine anglaise entré au service de la Turquie le 10 mai 1876 tué dans les murs de Kars, le 27 octobre 1877 is an enthralling and captivating novel written by Pierre Loti. The story follows the journey of a young English lieutenant who becomes enamored with the exotic and mysterious Aziyadé, a young Turkish woman.
Loti's prose is beautifully written, transporting the reader to the streets of Istanbul and the depths of the Turkish countryside. The novel is a poignant exploration of cultural differences, forbidden love, and the complexities of human relationships.
The characters are well-developed and multi-dimensional, drawing the reader into their world and making them feel deeply connected to their struggles and triumphs. The love story between the lieutenant and Aziyadé is both heartbreaking and heartwarming, filled with passion and longing.
Overall, Aziyadé is a mesmerizing and unforgettable read that will stay with you long after you have finished the last page. Loti's poetic language and vivid storytelling make this novel a must-read for anyone interested in historical fiction and tales of exotic romance. This Etext was prepared by Walter Debeuf, (HTML files can by find at: http://www.ibelgique.com/Digibooks) AZIYADÉ par PIERRE LOTI De l'Académie française Extrait des notes et lettres d'un lieutenant de la marine anglaise entré au service de la Turquie le 10 mai 1876 tué dans les murs de Kars le 27 octobre 1877. PRÉFACE DE PLUMKETT AMI DE LOTI Dans tout roman bien conduit, une description du héros est de rigueur. Mais ce livre n'est point un roman, ou, du moins, c'en est un qui n'a pas été plus conduit que la vie de son héros. Et puis décrire au public indifférent ce Loti que nous aimions n'est pas chose aisée, et les plus habiles pourraient bien s'y perdre. Pour son portrait physique, lecteur, allez à Musset: ouvrez " Namouna , conte oriental" et lisez: Bien cambré, bien lavé; ........ Des mains de patricien, l'aspect fier et nerveux Ce qu'il avait de beau surtout, c'étaient les yeux. Comme Hassan, il était très joyeux, et pourtant très maussade; indignement naïf, et pourtant très blasé. En bien comme en mal, il allait loin toujours; mais nous l'aimions mieux que cet Hassan égoïste, et c'était à Rolla plutôt qu'il eût pu ressembler ... Dans plus d'une âme on voit deux choses à la fois: ........ Continue reading book >>
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